Le mystère de la vocation

La crise du sens frappe l’ensemble de notre société actuelle. La pastorale vocationnelle n’est pas épargnée. Il est donc nécessaire de redécouvrir le sens de la vocation et plus particulièrement du sacerdoce, en s’appuyant sur ce que nous disent l’Eglise et la Bible à ce sujet.

Le mystère de la vocation

La crise du sens frappe l’ensemble de notre société actuelle. La pastorale vocationnelle n’est pas épargnée. Il est donc nécessaire de redécouvrir le sens de la vocation et plus particulièrement du sacerdoce, en s’appuyant sur ce que nous disent l’Eglise et la Bible à ce sujet.

Avoir la vocation... Qu'est-ce que cela signifie ?


« Ma vocation, je l’ai enfin trouvée », s’écrie Thérèse de l’Enfant Jésus en juin 1895 à 22 ans. Elle ajoute : « Oui, j’ai trouvé ma place dans l’Église et cette place, ô mon Dieu, c’est vous qui me l’avez donnée ». Chercher et trouver sa vocation est sans doute la joie la plus profonde qui soit donnée à un homme ou une femme. Mais ce n'est pas donné à tout le monde d'avoir une "illumination céleste" et connaître sa vocation.


« La vocation est le mystère de l’élection divine : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi ; mais c’est moi qui vous ai choisis et vous ai établis pour que vous alliez et portiez du fruit et que votre fruit demeure. » (Jean 15, 16) »

St Jean-Paul II • "Ma vocation, don et mystère"


Le mot « vocation » vient du verbe latin vocare qui signifie « appeler ». Et c'est tout le mystère de la vocation : l'appel de Dieu. Et y répondre ! Comment discerner cet appel ? Au coeur de toute vocation, il y a un véritable acte de foi, car Dieu ne cesse d'appeler. Mais comment savoir à quoi Dieu m'appelle ?

Avoir la vocation... Qu'est-ce que cela signifie ?


« Ma vocation, je l’ai enfin trouvée », s’écrie Thérèse de l’Enfant Jésus en juin 1895 à 22 ans. Elle ajoute : « Oui, j’ai trouvé ma place dans l’Église et cette place, ô mon Dieu, c’est vous qui me l’avez donnée ». Chercher et trouver sa vocation est sans doute la joie la plus profonde qui soit donnée à un homme ou une femme. Mais ce n'est pas donné à tout le monde d'avoir une "illumination céleste" et connaître sa vocation.


« La vocation est le mystère de l’élection divine : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi ; mais c’est moi qui vous ai choisis et vous ai établis pour que vous alliez et portiez du fruit et que votre fruit demeure. » (Jean 15, 16) »

St Jean-Paul II • "Ma vocation, don et mystère"


Le mot « vocation » vient du verbe latin vocare qui signifie « appeler ». Et c'est tout le mystère de la vocation : l'appel de Dieu. Et y répondre ! Comment discerner cet appel ? Au coeur de toute vocation, il y a un véritable acte de foi, car Dieu ne cesse d'appeler. Mais comment savoir à quoi Dieu m'appelle ?

« Priez le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson ! » (Mt 9, 38)

Une vocation est un appel décisif que le Christ adresse à certaines âmes par l’intermédiaire de son Eglise à tout laisser pour Le suivre. D'ailleurs, aux apôtres, Jésus dit : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis » (Jn. 15,16).

« Poser à quelqu’un la question de l’appel de Dieu, c’est lui rendre sa liberté véritable de choix, lui ouvrir la porte d’un dialogue avec Dieu, en sachant que l’Église, ensuite, aura son mot à dire pour authentifier cet appel. » 

 Cardinal Jean-Marie Lustiger • "Les prêtres que Dieu donne"


Quelques questions à se poser pour discerner un appel : Qui suis-je ? Quelle est mon histoire ? Mes dons ? Mes désirs ? Quelle place ai-je et quelle est celle à laquelle je me vois dans la société et l'Eglise ? 

Qui est Jésus-Christ pour moi ? Quelle relation ai-je avec Lui ? Est-ce que j'aime l'Eglise ? Est-ce que je souhaite la servir ? 

Ai-je besoin d'aide ? Le Cycle St Jean-Paul II est justement là pour accompagner ce temps de discernement et répondre à l'ensemble des questions que l'on peut se poser. 

« Priez le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson ! » (Mt 9, 38)

Une vocation est un appel décisif que le Christ adresse à certaines âmes par l’intermédiaire de son Eglise à tout laisser pour Le suivre. D'ailleurs, aux apôtres, Jésus dit : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis » (Jn. 15,16).

« Poser à quelqu’un la question de l’appel de Dieu, c’est lui rendre sa liberté véritable de choix, lui ouvrir la porte d’un dialogue avec Dieu, en sachant que l’Église, ensuite, aura son mot à dire pour authentifier cet appel. » 

 Cardinal Jean-Marie Lustiger • "Les prêtres que Dieu donne"


Quelques questions à se poser pour discerner un appel : Qui suis-je ? Quelle est mon histoire ? Mes dons ? Mes désirs ? Quelle place ai-je et quelle est celle à laquelle je me vois dans la société et l'Eglise ? 

Qui est Jésus-Christ pour moi ? Quelle relation ai-je avec Lui ? Est-ce que j'aime l'Eglise ? Est-ce que je souhaite la servir ? 

Ai-je besoin d'aide ? Le Cycle St Jean-Paul II est justement là pour accompagner ce temps de discernement et répondre à l'ensemble des questions que l'on peut se poser. 

"Il n'est pas nécessaire d'être déjà parfaits" Benoît XVI


« Pour répondre à l'appel de Dieu et se mettre en chemin, il n'est pas nécessaire d'être déjà parfaits. Nous savons que la conscience de son péché a permis au fils prodigue de se mettre sur le chemin du retour et de faire ainsi l'expérience de la joie de la réconciliation avec son Père. La fragilité et les limites humaines ne représentent pas un obstacle, à condition qu'elles contribuent à nous rendre toujours plus conscients du fait que nous avons besoin de la grâce rédemptrice du Christ. Telle est l'expérience de saint Paul, qui confiait : « Je n'hésiterai pas à mettre mon orgueil dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi » (2 Co 12, 9). »


Lire le message du pape Benoît XVI pour la 43e journée mondiale de prière pour les vocations

"Il n'est pas nécessaire d'être déjà parfaits" Benoît XVI


« Pour répondre à l'appel de Dieu et se mettre en chemin, il n'est pas nécessaire d'être déjà parfaits. Nous savons que la conscience de son péché a permis au fils prodigue de se mettre sur le chemin du retour et de faire ainsi l'expérience de la joie de la réconciliation avec son Père. La fragilité et les limites humaines ne représentent pas un obstacle, à condition qu'elles contribuent à nous rendre toujours plus conscients du fait que nous avons besoin de la grâce rédemptrice du Christ. Telle est l'expérience de saint Paul, qui confiait : « Je n'hésiterai pas à mettre mon orgueil dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi » (2 Co 12, 9). »


Lire le message du pape Benoît XVI pour la 43e journée mondiale de prière pour les vocations